Le bien et le mal.

L’humain, nous sommes pareils sur toute la terre, aimons nous les uns les autres pour devenir des belles âmes…Nous sommes lumières, nous nous dirigeons vers la lumière et nous répandons la lumière. C’est l’esprit qui nous donne tout et qui nous élève.

 

 

« Ivraie genre  de graminée (Pantes à tige cylindrique et creuse, dont les fleurs, toutes petites, sont groupées en épis : Les céréales sont des graminées), dont une espèce est très nuisible pour les céréales.  

  "Mauvaise  graine" qui doit être combattue ».

 

LA PARABOLE DES DEUX MAISONS (LE BIEN ET LE MAL).

 

« Ainsi tout homme qui entend les paroles que je viens de dire et les met en pratique, peut-être comparé à un homme avisé qui a bâti sa maison sur le roc.

La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé ; ils se sont précipités contre cette maison et elle ne s’est pas écroulée, car ses fondations étaient sur le roc.

Et tout homme qui entend les paroles que je viens de dire et ne les met pas en pratique, peut être comparé à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable.

 

La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé ;  ils sont venus battre cette maison, elle s’est écroulée, et grande fut sa ruine. »

 

 

LA PAROBOLE DE L’IVRAIE (LE BIEN ET LE MAL).

 

Il leur proposa une autre *parabole ; « Il en va du Royaume des cieux comme d’un homme qui a semé de bon grain (le bien) dans son champ.

Pendant que les gens dormaient, son ennemi est venu ; par-dessus, il a semé de l’ivraie (le mal) en plein milieu du blé (le bien), et il s’en est allé.

Quand l’herbe eut poussé et produit l’épi, alors apparut aussi l’ivraie (le mal).

Les serviteurs du maître de maison vinrent lui dire : « Seigneur, n’est-ce pas du bon grain (le bien) que tu as semé dans ton champ ?

D’où viens donc qu’il se trouve de l’ivraie (le mal) ? »

IL leur dit : « C’est un ennemi qui a fait cela. »

-        Les serviteurs lui disent : Alors, veux-tu que nous allions la ramasser (le mal) ?

« Non, dit-il, de peur qu’en ramassant l’ivraie (le mal) vous ne déracinez le blé (le bien) avec elle.

Lassez l’un et l’autre croître ensemble jusqu’à la moisson, et au temps de la moisson, je dirai aux moissonneurs : « Ramassez d’abord l’ivraie (le mal) et liez-la en bottes pour la brûler ; quant au blé (le bien), recueillez-le dans mon grenier (Paradis) ? »

 
page créée le 28/11/2014
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